1.9.11

Repères

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Ces temps ci (2014) 

des listes, du jeu soliste, du quatuor de guitares électrique, du chant par les routes, de la lecture de répertoire pour guitare, tiens qu'est ce que c'est que ce mot, répertoire, ça a un côté fermé, comment le dégoupiller, comment faire une route qui fait sens avec un certain répertoire, est ce qu'il faut absolument l'étendre, avaler et avaler des pièces, ou plutôt varier l'assaisonnement de quelques unes, tiens ici un peu plus, là un peu moins, et ça, oh ben ça finalement ça peut se passer de moi, et vice versa, et puis ça tiens et si je le donnais, et puis ça et si je le rangeais, et puis ça si je le chantais, et puis ça si j'en jouais juste un extrait, et puis faire entrer tout ça en dialogue avec ses propres recherches avec l'instrument, sans répertoire, pfuitt, oublier ce mot pour le retrouver plus tard (ou pas), juste écouter ce qui sonne là, ce qui vient dans la tête, dans le ventre, et évidemment, le répertoire, on en fait partie, on est tous un répertoire vivant, et puis qu'on le veuille ou non on est répertorié, ça on le dit bien assez en ce moment pour que j'en rajoute pas, et puis aussi on répertorie, on répertorie tout ce qu'on a encore à répertorier parfois, et puis et puis, alors alors alors le répertoire bien sûr, parait que ça vient du bas latin repertorium, inventaire, lui même venant d'un autre mot latin, reperire, retrouver que ça dit ce mot latin, comme quoi dès qu'on parle de répertoire y'a des strates et des strates, faut grignoter faire le castor (les strates, ô Castor !), alors oui, retrouver, mais avant de retrouver faut pas oublier de perdre, oh non faut pas oublier de perdre, et puis faire d'autres choses, tele (du grec ancien loin) des endroits où l'on a perdu parfois (tele-castor), ou d'autre fois dessus pourquoi pas, puisqu'on ne sait plus où est ce qu'on a perdu.


(depuis 2009) 



A Lille (Nord). Au sein du quatuor de guitares électriques OGR. Avec la pianiste Barbara Dang. Avec Christian Vasseur et le flamenco. Avec Tristan Manoukian (chansons). En improvisant. Avec le répertoire contemporain. Avec les collectifs 1000 morceaux (Nantes) et Muzzix (Lille). Avec les plasticiens Marie Bouts  et Christophe Boulanger (film de papier "la ligne d'ombre"). Avec la revue Ce qui secret. Avec le poète Christopher Barnett. Au conservatoire de Lens (créations pédagogiques, notamment de Benoît Albert et Caspar De Gruil). Avec Erwan Burban au Cefedem Bretagne-Pays de la Loire.

Un peu avant (2003-2008)

A Vernon (Eure). Avec l’ensemble Crwth de François Sarhan. Avec Soizic Lebrat, Olivier Bartissol (Drocs). Avec Mathieu Fèvre (chansons électriques). Avec Thomas Collin (La Grande Fabrique). Avec Emilie Pélissier. Avec l’opéra de Rouen, l’Itinéraire, l’orchestre de Paris, l'ensemble Recherche... Au conservatoire de Vernon (enseigne la guitare, partage l'improvisation & la création avec les invités Alain Paulo, Mathieu Fèvre, Sébastien Coste, Yves Clément).
Encore avant (1992-2002)

Au conservatoire de La Rochelle dans la classe de Serge Rabiller. Puis au Conservatoire de Paris (diplôme de Formation Supérieure en guitare classique - classe de Carel Harms et Olivier Chassain). Au sein de la classe d’Improvisation Générative dirigée par Alain Savouret et Rainer Boesh. En formation pédagogique (obtention du CA, en collaboration avec Pierre Millan Trescases, et avec le soutien de Wim Hoogewerf). 
Parallèlement : un trio de musique improvisée avec Mathieu Fèvre et Pascal Le Gall. Des concerts de guitare classique. De la musique de scène avec la compagnie Kôhm. Un long cheminement avec Christelle Séry. Des voyages en Andalousie, pour le flamenco. 
Au début 

Avec Serge Rabiller au conservatoire de Fontenay-le-Comte (Vendée). Avec Salah Gorri & le flamenco. 
Avant le début 

Sur le tapis du salon, avec la guitare folk de ma mère.